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La guerre des boutons... et ça recommence - 1994
Remake (presque) fidèle du film original transposé en 1994 et en Irlande.
Pas une mauvaise surprise ce remake, même si son défaut réside dans le fait que la gravité de la situation on la ressent, mais le film original la marquait plus.
Malgré tout j'ai une préférence pour ce remake car ici, pas d'accent campagnard bien français de l'ancien temps que mes oreilles ont bien du mal à accepter.
Et un petit coté charmant irlandais pas déplaisant.
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
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Je choisis de poster ça ici parce qu’il n’existe pas de topic spécialement dédié à la question du scénario simpliste, or, on en parle sans doute sur celui-là.
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J'ai acheté ready player one en blu ray (oui je suis faible).
Et je dois dire que j'aime toujours autant le film. Je vois clairement une projection de Spielberg sur le personnage de Halliday. Quand on le voit comme ça, le message du film change complètement.
Dernière modification par nathan0 (03-09-2018 10:13:38)
"je ne blame pas les gens pour les erreurs qu ils commetent , mais qu ils en assument les conséquences"
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Moi j'aime clairement ce film, je le défendrai toujours.
Winter is coming.
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Je me suis demandé un truc, est que vous pensez que le personnage de Halliday soit autiste ?
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C'est possible, en effet...mais je pense qu'il est surtout très renfermé et manque de contact (dans son enfance) avec d'autre personnes... Et au fait moi aussi j'ai adoré, faut que j'achète le pack brd, 4K ultra hd, dvd...
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Et au fait moi aussi j'ai adoré, faut que j'achète le pack brd, 4K ultra hd, dvd...
N'oublie pas les peluches et les stickers à coller sur le frigo.
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T'inquiète
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Il y avait tout ça dans l'édition spéciale fnac que je me suis procuré (désolé,qu'on m'as offert). Le packaging est vraiment classe.
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Des petites critiques sympas qui font des crochets sur certaines tendances des blockbusters actuels
https://www.youtube.com/watch?v=v-nxGZgnqWo
https://www.youtube.com/watch?v=pLreQ9W … e=youtu.be
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JUL??? Qu'est-ce qu'il fout là? ^^
Winter is coming.
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J'aime beaucoup sa façon de critiquer King Kong. C'est joliment dit.
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J'aime beaucoup sa façon de critiquer King Kong. C'est joliment dit.
Ce qui est surprenant c'est ce que moi-même j’ai longtemps considéré le King Kong de Jackson comme le dernier film qui m'a impressionné au cinéma (jusque récemment car des exceptions sont arrivées entre temps comme Cloverfield, Interstellar, Man of Steel, BR 2049...etc.).
Pour moi le King Kong de 2005 était donc le film de césure qui marquait la limite entre un âge d'or du cinéma à gros budget (et à grand spectacle) débuté dans les années 80 et s’essoufflant à parti de la deuxième moitié des années 2000.
Et comme on est tous relativement d'accord quant au fait que les problèmes actuels du cinéma à gros budget ont commencé durant la seconde moitié de la décennie 2000, le cas King Kong est intéressant car il est sorti pile poil au beau milieu de la décennie... à la fin d'une époque.
Analyse très poétique aussi.
L'analyse de The Meg corrobore pas mal ce qui ne va pas dans la plupart des films Hollywoodiens : la tension mal ou pas maîtrisée.
Mais bon je ne serait pas complètement catégorique car il y a malgré tout deux trois moments de frissons dans le lot.
Dernière modification par Monsieur ADN (06-09-2018 18:24:48)
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
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En fait les blockbusters ont muté dès les années 2000 avec les Harry Potter, Spider-Man de Raimi et LOTR de Jackson qui ont engendré des monstres.
Ca a été grande saga, profusion de SFX, tout le monde voulait sa part du gâteau, faire BIGGER and LOUDER. Et on voit où on en est.
Regardez les gros films avant 2000 et après 2000, on a quand même un autre niveau. On peut peut-être remonter à la période 93/96 entre Jurassic Park et Independence Day qui ont redistribué les cartes en mettant en avant les avancées technologiques. Ca a eu du bon, on a eu Matrix, Men In Black, les films catastrophes "crédibles" (Armageddon, Titanic, Volcano sans les mettre sur le même plan), des films d'aventure qui en jettent en proposant une reconstitution de qualité (La Momie, Gladiator, toujours en ne les comparant pas).. et puis le retour de Star Wars...
Ensuite Harry Potter et LOTR sont arrivés la même année et a clairement mis la barre trop haute pour tout le reste. Et depuis ces sagas, pas une seule suite gloumouté aux SFX ne vient squatté le box office sans atteindre les tréfonds critiques.
En somme, l'esprit de compétition c'est le mal. Avant tout ça, chacun faisait ce qu'il voulait.
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L'exemple du SDA est excellent TomWitwicky, car oui il arrive à l'apogée de cet âge d'or du cinéma et fait partie de ces films qui en ont marqué l'apothéose.
D'ailleurs l'exemple est très bien pour une autre raison.
Souvenez vous de la première fois que vous avez vous le SDA Le Retour du Roi ?
Je pense que nous avons tous été littéralement impressionnés et estomaqués par les batailles toutes aussi impressionnantes les unes des autres qui jalonnent tout le film ?
Depuis nombre films d'heroic fantasy ont tenté de faire de même, mais personne n'en est réellement parvenu.
Et la raison est somme toute évidente : ce n'est pas possible de faire mieux.
Le SDA nous livre les batailles de style médiéval/heroic fantaisie les plus impressionnantes du genre et ne rêvez pas, on en aura pas d'autres des comme ça malgré tous les efforts du monde.
J'ai moi-même été souvent déçu durant une période de ne pas retrouver ce sensationnel dans les films voulant nous présenter des batailles équivalentes jusqu'à ce que je me fasse à l'idée que ce n'est que dans le SDA que je retrouverai ce spectaculaire.
Donc oui, on tient bien là un exemple des limites de ce système de nous imposer du trop grand spectacle.
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
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https://www.youtube.com/watch?v=tsFeIVJfKsA
You either die as a fan or wait for enough sequels to see yourself become the hater.
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T'as raison, ADN. Et cette scène est l'une des plus grandes de l'histoire du cinéma, tellement c'est magique.
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Ils sont où les moments de frisson dans The Meg? Parce que moi... J'ai pas dû voir le même film.
Winter is coming.
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Deux trois scènes où j'ai sursauté mais sans plus.
J'ai jamais dit que le film était trépidant de long en large aussi.
@Owen Grady :
Par bataille impressionnante inégalable, je pensais à celle là :
https://www.youtube.com/watch?v=HX4KKkSKZAY
https://www.youtube.com/watch?v=xcJwKVAaIWM
https://www.youtube.com/watch?v=HVmWl7PrBcc&t=1s
https://www.youtube.com/watch?v=Jl8TiA3RwIY&t=14s
On fera jamais mieux et si quelqu'un s'y essayait il ne parviendrait pas à nous faire revivre les mêmes sensations.
Ou alors je m'incline.
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
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