Vous n'êtes pas identifié(e).
N'importe quoi en fait du moment que ça fait décors d'intérieur.
Un simple mur gris ou en briques suffirait au minimum.
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
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Parfais c'est suffisant !!!!
Génial !!!!! Merci Wolfrex !
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
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Si JW ne prend pas en compte TLW et JP ///, ça nous fera trois timeline avec ta fan-fic ? Il faudrait un fic ou un type voyage entre ces trois timeline
HUMOUR
"Jean-Paul, je ne comprends pas. Je clique, je clique sur votre site, mais ça ne marche pas…" Manuel Valls
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On pourra le considérer comme ça.
Et j'ai l'idée d'un spin off à ma fic !!!!
Rapt0r sera bien content.
Blue, Echo, Charlie et Delta seront de la partie et leur plumage sera fidèle aux coloris présentés dans le film.
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
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Image intégrée dans la fic.
Super, merci encore wolfrex !
Dernière modification par Monsieur ADN (13-07-2015 17:56:22)
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
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Ça sera un roman photo ^^ ?
C'est comme le bouquin d'un certain Bakker.
Il sera très bien illustré mon chéri.
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
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En cours d'écriture.
En ce moment c'est découverte du parc.
Dès que j'ai fini la première partie, je la transmettrai à quiconque désire la lire.
J'espère avoir fini cette première partie d'ici mi aout.
En avant première, je vous dévoilerai le chapitre introductif très bientôt. ^^
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
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Suite aux demandes de quelques uns, j'ai le plaisir de vous dévoiler le chapitre introductif de ma fic.
Bonne lecture. N'hésitez pas à commenter.
ISLA NUBLAR – 190 KM A L’OUEST DU COSTA RICA
Décembre 2016.
Alors que le monde entier s’apprête à fêter Noël, trois employés s’affairent devant un immense bâtiment aux murs blindés en béton armé. Fait curieux, ces trois employés revêtent des combinaisons de couleur jaune très claire. Des combinaisons de même type que des médecins emploieraient dans un lieu contaminé par une épidémie.
Il faisait nuit. La nuit était chaude mais un peu de vent rafraichissait l’atmosphère.
-Paré les gars ? Tout votre équipement est-il mis en place ? S’exclama l’un d’eux, moustachu avec un fort accent d’Amérique centrale.
-Gants ok, lunettes de protections ok. J’ai vraiment l’air d’un plongeur en mer avec ces machins sur les yeux… répondu nerveusement un autre plus jeune.
-Arrêtes de déconner, Paolo, tu connais le protocole maintenant. On t’a briefé sur les risques encourus à pénétrer dans cet enclos. Ce n’est pas parce que tu viens d’entrer dans le service que cela te donne le droit de te plaindre à tout bout de champs. Tu sais ce qui t’attend de l’autre coté de la porte blindée.
-Je plaisantais chef.
-Pas de place à la plaisanterie ici. On plaisantera à la cantine du parc en dégustant la bûche de Noël pour célébrer les congés de fin d’année. Je ne suis vraiment pas contre quelques jours de repos pour fêter dignement Noël à la maison. Paolo, Felipe vous avez vérifié votre radio ?
-Si Señor affirmèrent les deux collègues avec leur accent costaricain.
-Micheal, ici Ernesto à travers le micro de son casque à transmission radio. Tu me reçois 5 sur 5 ?
-5 sur 5 Ernesto. Les Diabolus se reposent au fond de l’enclos. Mais ils n’ont pas l’air d’avoir sommeil. Je les trouve même un tantinet sur le qui vive.
-Compris Micheal. A mon signal tu déverrouilles la porte.
-Paolo c’est à toi l’honneur d’utiliser l’appareil à ultra sons. Tu te souviens de la manière dont on utilise la machine ?
Parmi les trois comparses, Paolo était le seul à porter une sorte de sac à dos auquel dépassait un fil au bout duquel figurait un haut parleur. Le sac contenait en fait un appareil à ultra sons, pratique pour éloigner les animaux présents derrière ces murs. Le haut parleur était destiné à émettre ce son strident.
-Si Señor. Avant d’ouvrir la porte, je tends le haut parleur vers l’avant et je tourne la petite molette jusqu’à entendre un son strident. Les animaux resteront naturellement à distance du son émis.
-Très bien Paolo. Quand tu seras de l’autre coté, n’ai crainte. Les Diabolos peuvent paraitre effrayant mais tant que le son émettra ils resteront très loin de nous.
-Compris Senor. Paolo légèrement craintif émis un souffle pour se soulager.
Paolo, Ernesto et Felipe se dirigèrent vers un couloir incurvé dans un mur en béton armé.
Ernesto et Felipe se munirent d’une pelle, d’une brouette et d’un sac où était apposé le logo « contamination »
Au milieu de ce couloir figurait une porte blindée de couleur grise à coté de laquelle se trouvait un panneau de sécurité électronique. Cette porte était suffisamment large pour faire passer trois personnes avec du matériel.
Ce couloir était placé en réalité à gauche d’une plus grosse porte blindée, large d’une dizaine de mètres de la même couleur que la porte située dans le couloir. Destinée sans doute à laisser passer de gros véhicules.
Le bâtiment lui-même était situé en plein milieu d’une clairière dégagée dans la forêt tropicale.
Des projecteurs éclairaient les abords du bâtiment tandis que quatre autres projecteurs éclairaient l’intérieur du vaste enclos dont les contours étaient dessinés par d’immenses murs blindés.
Ces projecteurs trônaient sur les quatre coins de l’enclos de forme rectangulaire. Deux d’entres eux éclairaient l’enclos en haut de deux miradors. Chaque mirador comprenait un garde armé d’un fusil à long canon, faisant penser aux fusils de sniper employés dans l’armée ou les prisons de haute sécurité. L’extrême gauche du bâtiment était constitué d’un édifice comprenant des pièces intérieures.
D’autres employés surveillèrent de près les trois costaricains tous armés eux aussi de fusils semblables à ceux utilisés par les gardes des miradors. Vêtus d’une combinaison bleu marine, leur tête était affublée d’un casque bleu clair arborant la mention « Jurassic World ».
Dans l’espace mural situé entre le couloir et la grande blindée était placardé un écriteau :
DANGER CONTAMINATION !
ENTREE INTERDITE AUX PERSONNES
-Étrangères au service
-Sans autorisation
-Non vêtue d’une combinaison
conforme aux normes internationales
en vigueur ainsi qu’au règlement 14-2
liant la société InGen et les nations unies
InGen décline toute responsabilité
si un contrevenant décide délibérément
de franchir cette enceinte sans
respecter les conditions pré-requises.
Face à la porte de service, Paolo questionna Ernesto.
-Ernesto, pourquoi on nettoie les excréments des diabolus la nuit ?
-On profite qu’ils dorment la plupart du temps la nuit pour ne pas les déranger, répondit Felipe. C’est aussi une question de sécurité. Mais comme Micheal vient de m’annoncer qu’ils ne dorment pas, on va être forcés d’employer la méthode ultra-sons.
-Micheal, ici Ernesto dit-il par le biais du micro de sa radio. Déverrouille la porte.
Un déclic se fit entendre.
La serrure de la porte du couloir se déverrouilla automatiquement.
-Paolo, à toi lui invita Ernesto.
Paolo s’exécuta. Il tourna la molette située sur le haut parleur dans le sens des aguilles d’une montre.
Plus il tourna la molette, plus un son strident s’éleva dans l’air.
-C’est peu accommodant ce son.
-Hé oui mais faut faire avec Paolo. C’est le poste qui veut ça. Question de sécurité. Felipe, ouvre la porte.
Felipe s’exécuta à son tour. Paolo quelque peu hésitant, avança très lentement de l’autre coté de la porte donnant sur l’intérieur de l’enclos.
-Bien Paolo, très bien. Pas de gestes brusques.
« Sans blagues » se dit Paolo. « C’est la première fois que je pénètre dans cet enclos. Normal que je marche lentement, je flippe un peu là…».
L’intérieur de l’enclos était dégagé au niveau des deux portes blindées. Le reste était constitué de végétation tropicale. Une sorte de jungle dans l’enclos. « Pour faire préhistorique » se dit Paolo.
Paolo ne voyant aucun animal à l’approche se rassura puis avança bien plus confiant dans l’enclos.
Les fientes de l’animal étaient par chance proches de leur position.
-Restes où tu es Paolo et tends le haut parleur vers le fond de l’enclos lui ordonna Ernesto.
Le son strident persista et non au bon plaisir de Paolo. Toutefois il se senti en sécurité.
Felipe et Ernesto commencèrent à remplir les sacs des excréments à l’aide de leur pelle. La porte du couloir était laissée grande ouverte
L’ultra son se coupa immédiatement.
-Señor, je crois qu’on a un problème… s’inquiéta Paolo.
-Mierda, quel est le con qui a oublié de recharger la batterie de l’appareil !!!! S’écria Ernesto furieux.
-Ernesto on a autre problème lui informa Michael via la radio. Nous avons perdu l’un des quatre Diaboliques en visuel…
-Quoi ?
-Les trois autres se dirigent vers vous, mais je n’ai plus en visuel le quatrième.
-Fumigènes ! cria Ernesto dans le micro. FUMIGEEEENES !!!!!
Trois bombes fumigènes lancées depuis les miradors sifflèrent a travers l’enclos en direction du fond du bâtiment. Aussitôt des nuages de gaz emplirent le fond de l’enclos bétonné.
Une alarme retentie dans le bâtiment.
Paolo était en sueur. Il tremblait de peur.
Les animaux n’attaquèrent pas. Ils semblaient préoccupés par le gaz asphyxiant.
L’arbre situé devant Paolo semblait bouger. Mais le vent ne soufflait plus pour rafraîchir la soirée.
Bien qu’éclairé par des projecteurs, il était difficile de discerner quoique ce soit dans cette nuit d’hiver tropical. Pourtant, l’arbre semblait bien bouger.
Paolo se retourna pour courir vers la porte pris de panique.
Il senti soudain qu’une force le saisissait à travers le sac contenant l’appareil à ultra-sons.
Paolo était rapidement soulevé à plusieurs mètres de hauteur. « El Diablo, El Diablo ! » cria t’il
Sa combinaison se déchira et il fut projeté à même le sol. Paolo compris que le quatrième diabolique l’avait pris par son sac sans l’avoir mordu.
« Dios Mio, il peut disparaitre… Comme El Diablo… » Songea Ernesto…
Une forme de mâchoire ornée de dents devint tout à coup visible.
-Fléchettes tranquillisantes !!!! hurla Ernesto. Coté sud ouest de l’enclos !!!!!
Trop tard.
Paolo senti une morsure au niveau de sa jambe droite.
Des fléchettes tranquillisantes atteignirent le visage et le cou de l’animal qui n’étaient visibles qu’en partie.
L’animal lâcha sa prise.
-Felipe, aide moi à le sortir d’ici ! Ordonna Ernesto.
-El Diablo ! El Diablo ! El Diablo ! Hurla sans cesse le blessé.
Ernesto et Felipe trainèrent le pauvre Paolo blessé vers le couloir.
Ils refermèrent la porte.
Dernière modification par Monsieur ADN (18-07-2015 14:31:08)
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
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Alors ta fic aura pour antagonistes 4 Carnotaurus pouvant se camoufler et tu introduiras le DX pour cette fameuse "extinction" ?
J'ai bon ? ^^
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Je ne confirme pas le nom de l'espèce.
Tout ce que je peux dire c'est que je reprends cette idée de Diabolus Rex.
Je vous laisse spéculer à propos de l'identité du suspect.
Effectivement, la fic introduira ce fameux DX.
Je penses que c'est clair comme de l'eau de roche dès le premier chapitre.
Dernière modification par Monsieur ADN (18-07-2015 17:38:45)
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
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Oua sympa monsieur adn je pense aussi a un carnotorus et tu l'appelle diabolus a cause de ces deux cornes.
Qu'es ce que c'est??
C'est seulement le courant qui revient...
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Pourquoi le dx il n'est pas mis dans l'histoire. Sinon Après tu vas nous faire un autre fan fic qu'une étrange société à copier le dx mélangeant avec le virus ebola
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Pour vous mettre dans l'ambiance !
[...]
Et ce « El diablo ». Le diable, traduit en notre langue. Es por el Diablo. « C’est à cause du diable ».
Qu’est-ce qu’ils avaient conçus de si diabolique sur cette île ?
Carter n’avait pas sommeil. Elle devait en avoir le cœur net. Elle devait savoir quel animal pouvait être aussi diabolique.
Carter se précipita aussitôt sur son PC portable et se connecta au net.
Elle se rendit naturellement sur le site du parc d’attraction « JurassicWorld.com ».
Carter éplucha la liste des animaux. Elle tomba sur le Dimorphodon.
« Le coloris grisâtre de ce reptile volant du Jurassique et son bec atypique garni de dent lui a valu le surnom de Chauve Souris du Diable de la part des visiteurs ».
Non, celui qui a mordu cet homme ne peut-être un volatile. [...] lui avait parlé de « théropode ».
Théropode… Tyrannosaure Rex ? Métriacanthosaure ? Baryonyx ?
Ils sont certainement diaboliques dans leur comportement mais leur aspect physique ne correspondait pas à la représentation du diable. C’est alors qu’elle se souvint de la confidentialité de l’animal. Pourquoi son nom n’était pas dévoilé ?
C’est alors qu’elle trouva un autre nom de dinosaure : « Diabolus Rex ».
Carter cliqua sur le nom. « Diabolus Rex. Future attraction du parc. Ouverture Août 2017. Réservez votre place pour assister à la venue de notre nouveau dinosaure ! L’espèce ne sera dévoilée que le 22 aout 2017 ! Assistez à la grande surprise des 10 ans de Jurassic World ! ».
Carter compris enfin. C’est ce Diabolus Rex qui a mordu ce jeune costaricain. [...]
Pour la première fois de sa vie, Carter fut curieuse de connaitre la nouvelle espèce présentée au parc.
Elle se rendit sur un forum de discussion où fusèrent des tas de théories.
Allosaurus ? Carnotaurus ? Saurophaganax ? Torvosaurus ? Megaraptor ? Majungasaurus ? Carcharodontosaurus ?
Certains songeaient à de grands reptiles volants. Quetzalcoaltus ?
Les théories fusaient sur le web. Des fans, des passionnés qui attendaient avec impatience le nom de l’espèce. « Au moins ça fait travailler l’imagination des gens » songea-t-elle.
[...]
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
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