Vous n'êtes pas identifié(e).
Et en parlant de musique associée à De Funes on a aussi ce passage du Gendarme à New York pleinement inspiré de West Side Story :
https://youtu.be/V-XZ6-fTHC8?si=tZ4vcJvQFrKvkYW2
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
Hors ligne
Et en parlant de musique associée à De Funes on a aussi ce passage du Gendarme à New York pleinement inspiré de West Side Story :
https://youtu.be/V-XZ6-fTHC8?si=tZ4vcJvQFrKvkYW2
Une musique que Raymond Lefebvre et Paul Mauriat ont appelé Entrecôte Story .
Comme le premier le dit dans les documentaires, ils ont beaucoup travaillé dessus (comme pour la marche des gendarmes) pour arriver à faire quelque chose qui rappelle suffisamment ce dont ils s'inspirent mais sans que ça tombe dans un soupçon de plagiat.
Dernière modification par Cachalot93 (01-08-2025 13:03:16)
Hors ligne
L'hymne de l'été depuis 1964 : https://www.youtube.com/watch?v=TkR6t-U8tjU
Hors ligne
L'hymne de l'été depuis 1964 : https://www.youtube.com/watch?v=TkR6t-U8tjU
[/embed]
J'ai commencé à les revoir dans l'ordre, j'ai sorti le coffret Blu Ray que j'ai acquis il y a deux ans. Etonné de ne pas les avoir vu dans les programmes tv cette année.
Je confirme que le premier c'est celui qui de mon point de vue a le plus mal vieilli. Il est bon et on rigole bien devant, mais je le met en dessous des autres. Et le son est pas toujours terrible. Quand Claude Piéplu fait sin numéro de Dandy de la haute société, je suis obligé parfois de mettre les sous titres pour comprendre ce qu'il dit.
Documentaire très complet sur la saga des Gendarmes (1964-1982) : https://www.youtube.com/watch?v=q8AYPXXldcY
[/embed]
C'est tout simplement le documentaire présent dans les coffrets DVD et Blu Ray.
Dernière modification par Monsieur ADN (09-08-2025 10:53:49)
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
Hors ligne
J'ai commencé à les revoir dans l'ordre
Les grands esprits se rencontrent, j'ai aussi commencé à les revoir .
Etonné de ne pas les avoir vu dans les programmes tv cette année.
Il reste encore un peu de temps, peut-être que 6Ter va les repasser.
Je confirme que le premier c'est celui qui de mon point de vue a le plus mal vieilli. Il est bon et on rigole bien devant, mais je le met en dessous des autres. Et le son est pas toujours terrible.
Également pour moi, le premier est celui des six que j'apprécie le moins.
Mais il y a une séquence qui me fera toujours beaucoup rire : https://www.youtube.com/watch?v=doNrm225jNU
Hors ligne
Mister Bean n'aurait-il pas regardé le Gendarme se marie pour préparer son examen ?
https://www.youtube.com/watch?v=sdxxaMB … UgZXhhbWVu
https://www.youtube.com/watch?v=9LhLjps … 4gZXhhbWVu
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
Hors ligne
Je viens de finir mon revisionnage de l'intégralité des gendarmes. Il y a des changements notables que je constate vis à vis de certains personnages à partir des Extraterrestres.
Gerber tout d'abord. Il a toujours son caractère mais à partir de cet opus, il parait plus sévère qu'avant. Plus autoritaire. Je vais peut-être loin mais il serait presque limite un peu méchant sur les bords.
Et ensuite la bonne soeur. Elle est devenue mère entre temps. Mais même si elle garde un peu son coté jovial on la voit s'énerver pour la première fois dans le gendarme et les extraterrestres.* Elle en vient même à engueuler littéralement Cruchot dans les Gendarmettes.
Alors je me suis demandé si ces changements d'attitudes étaient réellement voulus par la production ou c'est juste coïncidence ?
*A noter une grosse incohérence. Cruchot vient de décrédibiliser la chorale des bonnes sœurs devant l'évêque et il s'en va de manière pas très catholique. Le lendemain quand il fait sa prospection sur la plage à la recherche d'un ET il retombe sur la soeur et tout était comme si de rien n'était. Moi je lui aurait fait passer un savon.
EDIT
Juste pour rire.
https://www.youtube.com/watch?v=qO2ECroTC10
Dernière modification par Monsieur ADN (24-08-2025 07:56:48)
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
Hors ligne
Autre incohérence, les époux Gerber changent de prénoms au fil des films. Un coup c'est Alphonse et Cécilia, puis ça devient Jérôme et Gilberte, et une autre fois Antoine et Germaine.
Hors ligne
L'une des toutes premières apparitions de Lambert Wilson dans un long métrage.
https://www.youtube.com/watch?v=pB_bbMKKQaI
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
Hors ligne
Ce site internet répertorie une large sélection des lieux de tournages en extérieur des films de De Funes en les comparant à ce qu'ils sont devenus récemment. Très intéressant de voir les changements notables de certains extérieur depuis les années 60/70.
http://nimotozor99.free.fr/lieuxdetournages.htm
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
Hors ligne
La liste des projets non aboutis où De Funès devait contribuer d'après Wikipedia.
Il y a eu des tas d'occasions manquées d'après ce que je vois.
On a loupé la possibilité de voir De Funès jouer avec de grands noms d'anciennes époques comme les Charlots, la troupe du Splendid et même Jean Paul Belmondo !
Sans oublier Pierre Richard qui a profondément regretté de ne pas avoir accepté le rôle du fils de De Funès dans l'Aile ou la Cuisse. S'il avait accepté nous aurions eu la seule et unique occasion de voir réuni dans un film les deux plus grands acteurs comiques de l'histoire du cinéma français.
Et sans oublier également le projet avorté d'un Astérix joué par De Funès accompagné de Lino Ventura en Obélix.
-Merci Patron avec les Charlots, années 1970.
Entre La Folie des grandeurs (1971) et Les Aventures de Rabbi Jacob (1973), Louis de Funès rencontre en 1972 le jeune Christian Fechner, producteur à succès des Charlots, tous de grands admirateurs de l'acteur. Un film inspiré de leur célèbre chanson Merci Patron est mis en projet : Louis de Funès incarnerait ledit patron et les Charlots ses ouvriers, qui finissent notamment par le séquestrer, comme cela se faisait beaucoup à l'époque[5]. Il côtoierait ainsi des vedettes comiques issues de la nouvelle génération.
Les déclarations sont contradictoires et floues autour du projet. D'après le journaliste Gilles Botineau, le film devait être réalisé par Jean Girault et scénarisé par son acolyte Jacques Vilfrid, fidèles collaborateurs funésiens[6]. Selon Bertrand Dicale, biographe de Louis de Funès, Michel Audiard devait en écrire les dialogues[7],[6]. Selon Jean-Guy Fechner, frère du producteur et Charlot lui-même, c'est Claude Zidi, déjà derrière les premiers films des Charlots qui devait le réaliser[8]. Les Charlots rencontrent leur futur partenaire dans les coulisses de la reprise d'Oscar, au théâtre du Palais-Royal[7],[9],[10]. Le projet est finalement abandonné, en raison des nombreux autres projets des uns et des autres — le ou les réalisateurs envisagés, de Funès, les Charlots — surchargeant leurs emplois du temps respectifs[8]. Selon Jean-Guy Fechner et Jean Sarrus, les Charlots auraient été ensuite impliqué dans les premières versions du scénario de L'Aile ou la Cuisse,[5]. De toute façon, la bande se brouille en 1976 avec le producteur, et s'en sépare[11].-1975 : Le Crocodile de Gérard Oury : projet abandonné à la suite de ses ennuis de santé.
-Le Cactus (1977) de Georges Lautner, sur un scénario de Luis Rego et Jean-Luc Voulfow et des dialogues de Michel Audiard[12],[13]
Avec Le Cactus, Louis de Funès devait retrouver Georges Lautner, faiseur de succès tout au long des années 1970, qui l'avait dirigé dans Des pissenlits par la racine (1964) et Les Bons Vivants (1965)[12]. Le film est annoncé en mars 1976 pour un tournage en septembre de la même année, avec l'équipe habituelle de Lautner, et une sortie en salles en février 1977[12]. D'après Luis Rego, « Le Cactus était le titre provisoire d'un projet, une sorte de coquille vide. On donne un titre, on a l'acteur principal et on lance un appel d'offres avec plusieurs metteurs en scène sur le coup et les producteurs leur payent l'écriture d'un synopsis ou d'un scénario ». Rego est invité au château de Clermont pour lire son scénario, mais Louis de Funès est finalement peu enthousiaste et distrait à la lecture, et le projet s'arrête là[6]. Rego explique que, de plus, son scénario montrait les enfants du personnage de de Funès vivre « une vie de bohème et de défonce typique des années 1970 » et comportait « une scène avec des filles aux seins nus », ce qui correspond peu aux films habituels de la vedette[14].
L'histoire était celle d'un chef d'entreprise redoutable qui tente de faire le bien autour de lui, notamment auprès des ouvriers de son usine[6],[12]. Sa bienveillance est incomprise, au vu de sa position de patron et de son caractère d'avant[12]. Il se fait alors passer our mort pour accomplir ses desseins incognito, cachés derrière divers déguisements improbables[12]. Le Cactus aurait donc pu donner un rôle à contre-emploi à de Funès, en patron devenu gentil[6].
Outre l'insatisfaction de la vedette envers les scénarios proposés, le projet est mis à mal par la faillite de la société de production Les Films La Boétie d'André Génovès[12]. Lautner raconte : « Je me suis trouvé convoqué par un juge d’instruction qui m'a expliqué en substance que la maison Génovès avait fait faillite parce que Louis de Funès n'avait pas aimé le scénario du Cactus. Il fallait donc que je travaille sur un autre scénario et qu'il soit accepté par de Funès ; et alors la maison serait sauvée. Évidemment, je travaillais un an sans être payé… Mon avocat lui a dit quelques mots et j'ai été libéré. J'ai alors pu commencer à travailler avec Alain Delon sur Mort d'un pourri »[12]. Désireux de travailler avec Lautner, Delon lui a envoyé cet avocat pour casser ce contrat impossible à honorer[15].-L'Animal (1977) de Claude Zidi. Christian Fechner désirait confier à Louis de Funès le rôle de l'imprésario du cascadeur incarné par Jean-Paul Belmondo, finalement tenu par Charles Gérard[16].
Une pie dans l'poirier de Robert Dhéry, annoncé après L'Aile ou la Cuisse par Christian Fechner pour 1978[17],[18],[19].
Près de dix ans après Le Petit Baigneur, des retrouvailles entre Robert Dhéry, ses Branquignols et Louis de Funès. Dhéry a connu entretemps l'échec du film Vos gueules, les mouettes !. Le producteur Christian Fechner annonce le projet en mars 1977 pour l'année suivante[17]. Il coécrit le scénario avec Pierre Tchernia[19]. Louis de Funès doit incarner un moine souffre-douleur. L'acteur refuse finalement le scénario, pas assez abouti à son goût. Une pie dans l'poirier est abandonné[20].-1983 : Papy fait de la résistance de Jean-Marie Poiré : Louis de Funès devait jouer le rôle de papy[21] ou du demi-frère d'Adolf Hitler[22]. En raison de sa mort, les rôles sont joués par Michel Galabru et Jacques Villeret.
Ayant côtoyé de nombreux médecins à cause de ses problèmes cardiaques, l'acteur désire adapter le roman Les Morticoles de Léon Daudet, paru en 1894, parlant d'une contrée imaginaire gouvernée par des médecins, dans un film qu'il verrait bien réalisé par Georges Lautner ou Robert Hossein[23]. Il en parle beaucoup avec le cardiologue qui le suit sur ses derniers tournages[24].-Un film réalisé par Patrice Leconte, dont il a apprécié Viens chez moi, j'habite chez une copine[25].
-Un nouveau film avec Coluche, après leur bonne entente sur L'Aile ou la Cuisse[26],[25]
-Un film avec Chantal Goya, vers la fin de sa vie[25]
La chanteuse pour enfants raconte : « Ensemble, on avait (…) un beau projet. C'est lui qui avait imaginé un dessin animé où il aurait été ma bonne conscience. Un Jiminy Cricket qui, assis sur mon épaule, m'aurait dit : “Fais pas si, fais comme ça…” Malheureusement, il est parti trop tôt »[27].
-L'envie d'un film avec Thierry Le Luron.
Louis de Funès et Thierry Le Luron évoquent leur envie de tourner ensemble dans son émission Les Lurons d'Europe 1 en octobre 1982, lors de la promotion du Gendarme et les Gendarmettes. Ils imaginent que Le Luron pourrait jouer le fils de Louis de Funès[28].-Fantomas à Moscou[29],[30]
-Le Gendarme dans l'espace ou Le Gendarme et le Vol de la Joconde ou Le Gendarme au Pays du Soleil Levant
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
Hors ligne
Et sans oublier également le projet avorté d'un Astérix joué par De Funès accompagné de Lino Ventura en Obélix.
: https://www.youtube.com/watch?v=d9Fwpl8U1JQ
-1975 : Le Crocodile de Gérard Oury : projet abandonné à la suite de ses ennuis de santé.
C'est un projet qui devait leur tenir à cœur, parce que dans les années 80, de Funès essayait encore de le relancer.
-Un nouveau film avec Coluche, après leur bonne entente sur L'Aile ou la Cuisse[26],[25]
Coluche en parle un peu : https://www.youtube.com/watch?v=Ru2jMm44jyY
Fantomas à Moscou[29],[30]
Oui, qui ne s'est pas fait parce que Jean Marais en avait un peu marre d'être relégué à la seconde place.
https://www.youtube.com/watch?v=Q1G2iaDIZ3k
Dommage, c'aurait pu être l'occasion de donner une vraie fin à la saga. La fin de Fantômas contre Scotland Yard me laisse toujours sur ma faim (c'est le cas de le dire). Le génie du crime qui repart comme ça, sans aucune raison d'arrêter ses méfaits.
Le Gendarme dans l'espace ou Le Gendarme et le Vol de la Joconde ou Le Gendarme au Pays du Soleil Levant
Le Gendarme et l'Empereur aussi, un trip en mode Visiteurs où les gendarmes se retrouvent à Waterloo et emprisonnés par Napoléon.
Ils seraient peut-être déjà allés chercher Christian Clavier pour le jouer !
Clavier qui a avant de jouer Napoléon accompagné Napoléon à la toute fin des Visiteurs 2.
Enfin, si de Funès avait vécu, Le Gendarme et l'Empereur aurait eu largement plus de chance de se faire à l'époque qu'un dernier Visiteurs aujourd'hui...
J'ai toujours pensé qu'en clin d'œil à La Grande Vadrouille, ce serait marrant dans un Visiteurs en 1943 de passer ça à un moment :
https://www.youtube.com/watch?v=Ws_YvHf … rt_radio=1
Enfin bref, je referme le chapitre (déjà qu'il m'occupe ces temps-ci bien plus que ce que j'avais prévu).
Hors ligne
Monsieur ADN a écrit :Et sans oublier également le projet avorté d'un Astérix joué par De Funès accompagné de Lino Ventura en Obélix.
Cet Astérix qui n'a existé qu'à l'état d'idée de projet c'est celui qui fascine le plus mon imagination. C'est surtout quel aurait été le casting des autres personnages qui m'intrigue et surtout comment De Funès aurait fait parlé Astérix.
"-Gngngngn Obélix non ! Regarde moi dans cette zone là. Pas ici, là ! Panoramix notre druide t'as toujours dit de ne pas prendre de potion magique parce que tu es tombé dans la marmite de potion magique quand tu étais petit. Gngngngn, plouf et PAF !"
-Même pas une gorgée Astérix ?".
-RIEN DU TOUT, voilà. Et PAF !!!"
Oui, qui ne s'est pas fait parce que Jean Marais en avait un peu marre d'être relégué à la seconde place.
L'art du montage. S'il n'y avait pas eu les mimiques de De Funes dès qu'il apparaît on aurait pu croire que cette fausse BA était celle d'un film dramatique. ^^
Dernière modification par Monsieur ADN (Hier 16:48:29)
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
Hors ligne