Vous n'êtes pas identifié(e).
Le problème que j'ai avec ce film, c'est que oui, il y a du talent à la réalisation, mais Spielberg reprend pas mal de scènes du premier, en y changeant juste les épices. Et puis quand tu lis le second bouquin de Crichton, tu te dis qu'il y avait de quoi faire un film de malade et qui aurait pu être supérieur au premier.
Dernière modification par Jurassic-Hight (28-03-2024 19:58:39)
Ici Jurassic Dark, qui est devenu Jurassic White... avant de se faire pirater son compte. Décidément, biosyn ne nous laissera jamais tranquille.
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Phrase non finie !
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
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Un des meilleurs film JP pour moi ... Quand il est sorti, j'étais au CM2 ...
J'avais le DVD ( que j'ai encore ), je le regardais en boucle et en boucle ...
La partie quand INGEN débarque sur l'ile pour un petit "safari" avec les dinosaures ...
Avec le véhicule qui capture le Pachy ...
La petite chasse, avec la team INGEN, qui finalement se font courser par le T-Rex ...
Ou quand STARK, va faire son petit "pipi" qui reviendra jamais ...
Ou encore quand LUDLOW ramène le T-REX à San Diego, la grosse panique ...
Non, ceux qui disent que TLW était nul, et/ou inutile ... T-REX SUR VOUS !
En plus ( grand ) fan de Ian MALCOLM ( Avec ma figurine de la version site B, que j'ai encore )
Dernière modification par Amazonosaurus (27-04-2024 14:22:08)
" J’en ai marre d’avoir toujours raison ... " ( Ian MALCOLM - Jurassic Park )
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Personnellement je comprends les réticences que l'on peut avoir vis-à-vis de ce deuxième opus, même si je trouve toujours un certain plaisir à le visionner.
D'abord il y a le contexte : il était très très difficile de passer après le mythique premier volet, qui a tant marqué les esprits.
Il y a également les incohérences, notamment par rapport au premier épisode. Cette deuxième île n'avait jamais été évoquée dans JP1, et Malcolm était supposé avoir trois ou quatre enfants au lieu d'un seul. Et je n'ai toujours pas compris comment le T-Rex a dévoré tout l'équipage dans le bateau en direction de San Diego. Je sais qu'il y a une vidéo qui explique plus ou moins comment cela est possible, mais je ne suis pas franchement convaincu.
Le côté sombre a aussi pu dérouter et décevoir. Après, on peut aussi le voir comme une force car Spielberg a au moins eu le mérite de ne pas faire une copie conforme du premier opus. Mais à titre personnel, je suis moins fan.
La dernière partie a San Diego sort un peu "du chapeau" : elle n'est pas mauvaise en soi, mais j'aurais préféré qu'elle soit traitée beaucoup plus, plutôt que d'être calée ainsi en fin de film. Soit on la fait à fond, soit pas du tout, car je trouve que dans le cas présent ça ne va pas tellement avec le reste du film, et on perd au passage contact avec pas mal de personnages, ce qui s'avère déroutant.
Les personnages justement, voilà sans doute le point qui m'a le plus interpellé. On les connaît finalement très peu, même après pas mal de visionnages j'ai toujours un mal fou à donner un nom à plusieurs d'entre eux (comme "Ludlow" par exemple ou même Van Owen). Quand je consulte la page wikipédia du film, je me rends compte que je ne reconnais même pas la moitié des noms Même au niveau de la personnalité, on les connaît à peine. C'est comme s'ils nous tournaient le dos, je ne sais pas si je suis le seul à avoir cette impression. Dans le premier volet, les personnages n'étaient pas forcément fascinants, mais on arrivait quand même un minimum à les cerner. Roland surnage vaguement dans cet ensemble nébuleux, mais même lui ne marque pas vraiment. Il finit par quitter le film à une demi-heure de la fin et au revoir. Toujours par rapport aux personnages, l'antagonisme et la réconciliation entre les deux clans (écolos et contrebandiers) sont vite survolés alors que l'idée était intéressante, dommage.
Très accessoirement je n'ai pas été spécialement bluffé par la fameuse scène des Raptors dans les hautes herbes que je trouve très courte, mais c'est plus un détail. J'ai bien aimé la scène du camping car par contre.
Après je trouve tout de même plaisir à regarder ce film, qui reste agréable à regarder, et qui comporte quelques éclairs. Mais comme pour les épisodes suivants, on est loin de la grandeur du premier.
Dernière modification par Nico____ (19-11-2024 21:08:29)
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Il y a également les incohérences, notamment par rapport au premier épisode. Cette deuxième île n'avait jamais été évoquée dans JP1
C'est aussi le cas avec le roman. Mais ce n'est pas vraiment une incohérence, c'est juste que Sorna n'existait tout simplement pas à l'époque où Jurassic Park a été fait. Mais la raison d'être de cette seconde île n'est pas incohérente, ça fait sens (et ce d'autant plus qu'à l'époque Nublar était censée être éliminée de l'équation). C'est le cas souvent dans les sagas qui n'étaient pas prévues pour en être au départ.
Et Malcolm était supposé avoir trois ou quatre enfants au lieu d'un seul.
On ne voit que Kelly me rien n'empêche que les deux autres existent toujours mais vivent ailleurs.
Et Malcolm a donc eu entre Jurassic Park et Domion deux autres enfants.
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Le côté sombre a aussi pu dérouter et décevoir. Après, on peut aussi le voir comme une force car Spielberg a au moins eu le mérite de ne pas faire une copie conforme du premier opus. Mais à titre personnel, je suis moins fan.
Samedi soir j'étais à la soirée de présentation de l'ouvrage "Jurassic Park et les Sciences" au cinéma Club de l'Etoile à Paris.
Pendant la séance de questions/réponses avec l'auteur de l'ouvrage je lui ai demandé ce qu'il pensait personnellement de TLW en ajoutant que je trouve que c'est une suite sous-estimée.
Il était entièrement d'accord avec moi en ajoutant que ce qu'il apprécie contrairement à un certain JW c'est qu'il y a cette vocation à ne pas faire copie du premier film en tentant une autre approche.
Certes je vais encore radoter mais je ne répéterai jamais assez que dans mon entourage quelqu'un m'avait demandé pourquoi je ne n'avait pas aimé JW alors que c'est JP à 70%. La nostalgie du premier film est omniprésente dans ce film et que vous le vouliez ou non, celle-ci a joué un facteur très important dans le succès du film (et l'aveuglement d'une parie du public).
Et de mon point de vue le coté sombre du film est une prolongation du coté pessimiste de JP dans sa deuxième partie (à partir du moment où ça capote). Car au bout d'un moment JP ce n'est plus du rêve, c'est une remise en question de ce rêve. TLW l'a très bien compris, son coté sombre d'articule bien avec ce que signifie réellement JP. C'est une continuité assez logique cinématographiquement.
La dernière partie a San Diego sort un peu "du chapeau" : elle n'est pas mauvaise en soi, mais j'aurais préféré qu'elle soit traitée beaucoup plus, plutôt que d'être calée ainsi en fin de film. Soit on la fait à fond, soit pas du tout, car je trouve que dans le cas présent ça ne va pas tellement avec le reste du film, et on perd au passage contact avec pas mal de personnages, ce qui s'avère déroutant.
Durant la phase d'écriture du film c'est certain, cette séquence finale sort du chapeau.
Cependant je ne suis pas d'accord sur le fait qu'elle ne va pas avec le reste du film. Au contraire elle vient appuyer à son paroxysme ce que le film voulait raconter. "On a déjà ouvert un parc, voilà ce que ça fait. Mais pire encore voilà ce que ça fait quand on ouvre un parc sur le continent. Mieux vaut donc laisser les animaux vieillir à leur guise isolés sur une île".
Mais comme pour les épisodes suivants, on est loin de la grandeur du premier.
Quand il s'agit de sagas cinématographiques à suites il faut impérativement se sortir de la tête qu'il faut absolument retrouver la grandeur du film d'origine. On en vient après à des flots de critiques abusés qui donnent lieu à des aberrations comme Star Wars 7, JW ou Maman j'ai raté l'avion 3 (si ça existe et je ne parle pas de Maman je m'occupe des méchants).
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
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Nico____ a écrit :Il y a également les incohérences, notamment par rapport au premier épisode. Cette deuxième île n'avait jamais été évoquée dans JP1
C'est aussi le cas avec le roman. Mais ce n'est pas vraiment une incohérence, c'est juste que Sorna n'existait tout simplement pas à l'époque où Jurassic Park a été fait. Mais la raison d'être de cette seconde île n'est pas incohérente, ça fait sens (et ce d'autant plus qu'à l'époque Nublar était censée être éliminée de l'équation). C'est le cas souvent dans les sagas qui n'étaient pas prévues pour en être au départ.
Nico____ a écrit :Et Malcolm était supposé avoir trois ou quatre enfants au lieu d'un seul.
On ne voit que Kelly me rien n'empêche que les deux autres existent toujours mais vivent ailleurs.
Et Malcolm a donc eu entre Jurassic Park et Domion deux autres enfants.
J'aurais quand même bien aimé qu'il y ait une ou deux phrases dans le film pour raccrocher les wagons...
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Nico____ a écrit :Le côté sombre a aussi pu dérouter et décevoir. Après, on peut aussi le voir comme une force car Spielberg a au moins eu le mérite de ne pas faire une copie conforme du premier opus. Mais à titre personnel, je suis moins fan.
Et de mon point de vue le coté sombre du film est une prolongation du coté pessimiste de JP dans sa deuxième partie (à partir du moment où ça capote). Car au bout d'un moment JP ce n'est plus du rêve, c'est une remise en question de ce rêve. TLW l'a très bien compris, son coté sombre d'articule bien avec ce que signifie réellement JP. C'est une continuité assez logique cinématographiquement.
La dernière partie a San Diego sort un peu "du chapeau" : elle n'est pas mauvaise en soi, mais j'aurais préféré qu'elle soit traitée beaucoup plus, plutôt que d'être calée ainsi en fin de film. Soit on la fait à fond, soit pas du tout, car je trouve que dans le cas présent ça ne va pas tellement avec le reste du film, et on perd au passage contact avec pas mal de personnages, ce qui s'avère déroutant.
Durant la phase d'écriture du film c'est certain, cette séquence finale sort du chapeau.
Cependant je ne suis pas d'accord sur le fait qu'elle ne va pas avec le reste du film. Au contraire elle vient appuyer à son paroxysme ce que le film voulait raconter. "On a déjà ouvert un parc, voilà ce que ça fait. Mais pire encore voilà ce que ça fait quand on ouvre un parc sur le continent. Mieux vaut donc laisser les animaux vieillir à leur guise isolés sur une île".
Mais comme pour les épisodes suivants, on est loin de la grandeur du premier.
Quand il s'agit de sagas cinématographiques à suites il faut impérativement se sortir de la tête qu'il faut absolument retrouver la grandeur du film d'origine. On en vient après à des flots de critiques abusés qui donnent lieu à des aberrations comme Star Wars 7, JW ou Maman j'ai raté l'avion 3 (si ça existe et je ne parle pas de Maman je m'occupe des méchants).
C'est drôle que tu parles de Star Wars, car L'Empire contre-attaque est considéré comme meilleur que l'épisode 4 Il y a également de meilleures suites que les premiers épisodes, comme Terminator 2, Retour vers le futur 2 ou Les Bronzés font du ski. Cela dit je te rejoins quand tu dis qu'il faudrait revoir ses espoirs à la baisse au sujet des suites, mais c'est plus facile à dire qu'à faire.
Concernant le T-Rex à San Diego, il y a quand même un côté "ni fait ni à faire" qui me dérange un peu. J'aurais presque préféré que ça constitue un film entier, même si ça aurait donné un côté "Godzilla bis".
Concernant le côté pessimiste de JP1, je ne suis pas tout à fait d'accord: après tout le film se termine par un Alan Grant qui prend conscience de sa fibre paternelle : le personnage a évolué en bien, tous les malheurs du parc ont au moins eu un aspect positif. C'est le côté familial et "bonbon" qu'on apprécie tant chez Spielberg, et qui fait défaut dans ce deuxième volet. C'est peut-être ce qui a déstabilisé les spectateurs.
En fait en y réflechissant j'ai l'impression que le premier épisode est plus centré sur l'humain, et le second davantage sur les dinos, quitte à délaisser les personnages.
Dernière modification par Nico____ (20-11-2024 14:46:08)
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Concernant le T-Rex à San Diego, il y a quand même un côté "ni fait ni à faire" qui me dérange un peu. J'aurais presque préféré que ça constitue un film entier, même si ça aurait donné un côté "Godzilla bis".
Il me semble que c'était plus ou moins ce que Spielberg avait à l'esprit au départ, de garder les dinosaures en ville pour un éventuel troisième film.
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J'avais lu quelque part qu'il se murmurait à l'époque de la pré-production du Monde Perdu qu'un Godzilla inspiré de Jurassic Park était en préparation et que Spielberg aurait voulu rajouter le T. rex à San Diego pour leur couper l'herbe sous le pied
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Le Godzilla d'Emmerich sorti quelques mois plus tard.
"Ce que John Hammond et InGen ont fait à Jurassic Park, c'est créé des monstres de parcs d'attractions génétiquement modifiés, rien de plus et rien de moins."
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C'est drôle que tu parles de Star Wars, car L'Empire contre-attaque est considéré comme meilleur que l'épisode 4 Il y a également de meilleures suites que les premiers épisodes, comme Terminator 2, Retour vers le futur 2 ou Les Bronzés font du ski. Cela dit je te rejoins quand tu dis qu'il faudrait revoir ses espoirs à la baisse au sujet des suites, mais c'est plus facile à dire qu'à faire.
C'est plutôt le regard général de la prélogie que je mettais en avant. Oui ce n'est pas une suite, mais çe reste une nouvelle approche de l'œuvre post époque originelle.
C'est pas difficile à faire, il suffit juste de se sortir de la tête qu'il faut retrouver systématiquement l'effet de surprise original et prendre ce qu'il y a de positif dans le(s) opus suivant(s). J'aurai pu ajouter à la liste les Visiteurs 2 ou Gremlins 2 entre autres nombreux exemples. Bon exception confirmant la règle c'est Avatar 2 qui ne m'a pas convaincu, mais qui a quand même convaincu une bonne partie du public.
Concernant le côté pessimiste de JP1, je ne suis pas tout à fait d'accord: après tout le film se termine par un Alan Grant qui prend conscience de sa fibre paternelle : le personnage a évolué en bien, tous les malheurs du parc ont au moins eu un aspect positif. C'est le côté familial et "bonbon" qu'on apprécie tant chez Spielberg, et qui fait défaut dans ce deuxième volet. C'est peut-être ce qui a déstabilisé les spectateurs.
L'ascendance paternelle de Grant n'est qu'une parcelle centrée sur un personnage. Dans la même scène où Lex et Tim sont accolés à lui dans l'hélicoptère, on a en face de lui un Hammond complètement dépité par ce qu'il vient de se passer. Tout ce qu'il a investi corps et âme vient de s'effondrer l'espace d'un jour, l'approche de Malcolm s'est vue confirmée, c'était le destin de ce parc quoiqu'il aurait pu se passer. Le sujet principal de la première œuvre c'est le parc, l'arc narratif de Grant n'est qu'une composante.
Pour ce qui est du côté familial et "bonbon" de Spielberg on a trop tendance à oublier que post Jurassic Park, le réalisateur a changé complètement de cap et depuis sa carrière est beaucoup moins orientée "familial gourmandises".
La liste de Schindler sorti la même année, TLW et Il faut sauver le soldat Ryan en attentent allégrement (ce dernier prenant aux tripes au propre comme au figuré).
De mon avis personnel, JP est déjà pour Spielberg un film transitoire où se mêle un peu encore ce coté familial avec du sérieux dur (l'attaque de la Ford et la scène de la cuisine sont tout sauf "bonbon"). De même Spielberg n'a pas démarré sa carrière avec des films "roses bonbons" (Duel et les Dents de la Mer n'en sont pas, pas plus que Sugarland Express), et sa période familiale ne l'a pas empêché de s'intéresser à des sujets séreux comme "La couleur pourpre". Décrie Spielberg avec son coté familial des années 80 est donc très réducteur. Attention au piège.
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
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Concernant le côté pessimiste de JP1, je ne suis pas tout à fait d'accord: après tout le film se termine par un Alan Grant qui prend conscience de sa fibre paternelle : le personnage a évolué en bien, tous les malheurs du parc ont au moins eu un aspect positif. C'est le côté familial et "bonbon" qu'on apprécie tant chez Spielberg, et qui fait défaut dans ce deuxième volet. C'est peut-être ce qui a déstabilisé les spectateurs.
En fait en y réflechissant j'ai l'impression que le premier épisode est plus centré sur l'humain, et le second davantage sur les dinos, quitte à délaisser les personnages.
Un autre truc qui peut compléter notre discussion m'est venu à l'esprit entre temps. Il y a dans la trilogie initiale un film qui se rapproche plus du coté "familial bonbon spielbergien années 80", et certains vont surement tomber par terre en lisant ça, mais ce n'est ni JP ni TLW, c'est JPIII.
JPIII à part quelques détails ici et là, c'est du début à la fin une histoire de famille avec réconciliation entre temps, retrouvailles heureuses et fin bon enfant. Là pour le coup la fin de ce film contraste allègrement avec les fins de JP et TLW. Dans ces derniers, l'expression faciale des personnages affiche clairement la teneur tragique des événements, là ou dans JPIII c'est tout sourire et tout est bien qui finit bien.
La dimension familiale existe dans JP et TLW, je ne le nie pas. Mais elle sert juste de composante dans le grand tout là où dans JPIII c'est ça du début à la fin.
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
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