Et ce n'est pas le premier incident de ce type, j'avais déjà entendu parlé de cas de morts accidentelles par balles dans des tournages passés. Mais je ne me rappelle plus lesquels.
]]>La culpabilité doit être ingérable, j'arrive pas à imaginer. Cette image prise devant le bureau du Sheriff pendant son audition vaut 1000 mots.
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Bref pour ceux qui voudraient encore faire le voyage, et bien ce sera sans moi.
]]>]]>Entre 1.000 et 1.500 oiseaux se sont tués en percutant des immeubles à Philadelphie ( Etats-Unis) dans la nuit du vendredi 2 octobre. Le phénomène s’est concentré sur quelques pâtés de maison de la ville américaine. Une centaine de cadavres ont été retrouvés sur le seul toit d’un petit bâtiment tandis que le gardien d’un autre immeuble a retrouvé 75 volatiles, morts pour la plupart, rapporte le Philadelphia Inquirer.
Au petit matin, Stephen Maciejewski, un bénévole de l’organisme de protection des oiseaux Audubon Society, a récupéré plus de 400 corps d’oiseaux lors de sa tournée habituelle. « Il y avait tellement d’oiseaux qui tombaient du ciel, on ne comprenait pas ce qui se passait, témoigne-t-il. C’était une catastrophe ». Les jours qui ont suivi, l’Américain de 71 ans en a collecté une trentaine chaque matin.
Le phénomène a donc été ponctuel. Il serait dû à la conjonction de la situation météorologique et d’un moment fort de la migration des volatiles quittant le Canada, le Maine ou le nord de l’Etat de New York pour rejoindre l’Amérique du Sud ou centrale. Les animaux ont massivement pris leur envol à cause d’une soudaine baisse de température.
Une fois à Philadelphie, des nuages ont forcé ces oiseaux peu habitués aux éléments urbains à voler plus bas que d’habitude. Au cours de la nuit, les volatiles ont été attirés par la lumière à l’intérieur des immeubles aux larges pans vitrés. Le matin, d’autres ont pris les reflets des arbres dans les façades réfléchissantes pour de vrais végétaux sur lesquels ils pouvaient se poser. Chaque année, des centaines de millions d’oiseaux meurent en percutant des immeubles, estime Keith Russell, un ornithologue d’Audubon Society.