ma fiction : L'approche d'un monde perdu.

nicolasollivier · 27-10-2015 19:57:25

Exact, un couple de baryonyx dérangés par inadvertance. Va y avoir des hurlements et des sauve qui peut.

Spyrex · 27-10-2015 19:58:38

Spino, Sucho, Baryo : Giant Crocs All-Out Attack glasses

nicolasollivier · 27-10-2015 20:00:05

J'aime beaucoup les spinosauridé, je me devais d'avoir au moins deux espèces dans ce tome ^^

nicolasollivier · 03-11-2015 11:45:24

Voici le lien de la page Facebook dédiée à " l'approche d'un monde perdu "

https://www.facebook.com/lapproche.fr?r … page_panel

et voici la couverture du livre réalisée à l'époque par Rapt0r

Ulfric Sombrage · 03-11-2015 18:19:58

J'ai direct pensé à ça. C'est une coïncidence ?

nicolasollivier · 03-11-2015 19:14:49

J'ai choisi ce titre il y a dix ans et je n'ai jamais lu ce livre ^^, je ne le connaissais pas jusque récemment.

nicolasollivier · 11-11-2015 12:23:22

Voici la représentation de l'espèce dilophosaurus présente sur mon île, le modèle a été réalisé par Mehdi Medoc Akkari, un membre du forum moins actif depuis quelque temps et qui avait réalisé un fan film " perdus sur Isla Nublar ".

Ulfric Sombrage · 11-11-2015 12:25:18

C'est normal qu'il soit difforme ?

nicolasollivier · 11-11-2015 12:30:20

Petite information supplémentaire, le lieu où se déroule l'action du premier tome se nomme "Isla De Noche".

nicolasollivier · 11-11-2015 12:31:25

Difforme? C'est à dire?

Tu parles de la forme du crâne, des crêtes, la collerette et la pronation?

Dernière modification par nicolasollivier (11-11-2015 12:36:22)

Spyrex · 11-11-2015 13:14:32

L'arrière-train paraît un peu affaissé, mais les couleurs sont pas mal, un mix entre le roman et le film.

nicolasollivier · 11-11-2015 13:29:25

C'est un peu ça ^^, si ça plait tant mieux, ça fera plaisir à Mehdi, il utilise un logiciel qui ne lui permet pas d'avoir des rendus comme dans les films, mais je trouve que c'est déjà très bien.

Spino L · 11-11-2015 17:13:35

Ouh! Nice work Mehdi!

nicolasollivier · 11-11-2015 21:47:35

Merci pour lui, donc si vous avez bien compris, mes dilophosaures, sont un bon hommage à ceux de jurassic park.

nicolasollivier · 11-11-2015 22:10:31

Les ronflements raisonnaient dans la salle de soin. La lumière matinale emplissait les murs, les meubles, les objets et les corps d’une douce clarté. Nikos et Antonio s’étaient allongés l’un à côté de l’autre sur le sol. Adama se tenait dos au mur sous l’une des fenêtres, et Marc, Patrick et Xin se partageaient un pan de mur, leurs corps entiers cachés sous les trois tables. Les femmes elles, se partageaient les deux lits dans la chambre, accompagnées de Mickaël. La douce chaleur accompagnant un rayon de lumière vint caresser le visage de Nikos. Ce dernier remua la tête et se mit sur le dos. Il ouvrit lentement les yeux, battant des paupières. Il vit le plafond blanc, la peinture s’était écaillée et avait parfois cloqué par endroit. Il y avait une sorte de lustre fait de trois branches articulées, chacune terminée par une grosse ampoule. Il observa ainsi ce qui se trouvait au-dessus de lui pendant un long moment. Le réveil était difficile et ses membres et son dos étaient endoloris. Il étira longuement ses jambes puis se mis en position assise et s’étira le dos et les bras. Un long bâillement lui fit se détendre les articulations de ses maxillaires.
Il sentit comme une légère vibration dans le sol. Puis la pièce s’obscurcie quelques instant avant que la lumière ne revienne. Il y eut d’autres vibrations, certaines accompagnées d’un bruit sourd. La lumière disparue à plusieurs reprises, réapparaissant par à coup. Nikos décida d’aller voir les gros animaux qui passaient devant le bâtiment. En se levant il entendit plusieurs mugissements, comme des sortes de chants de baleine, des sons graves, longs et profonds, mélodieux. Le jeune homme se dirigea vers la fenêtre face à lui alors que les vibrations continuaient. Il s’approcha de la vitre et profita du spectacle. Un troupeau d’énormes animaux aux longs cous et à la queue interminable, de couleur ocre et aux épines dorsales bien caractéristiques, se déplaçait paisiblement à travers la plaine en émettant leurs longs chants plaintifs. Nikos aperçu des animaux plus petit se déplaçant entre les énormes pattes des sauropodes, leurs têtes violacées dépassant à peine des hautes herbes. Il put voir aussi les nuées de petites créatures volantes qui avaient élu domicile sur le dos des géants herbivores.
Nikos se dirigea alors vers Antonio qui dormait encore et entreprit de le réveiller en le secouant quelque peu.

« - Antonio, Antonio, réveille-toi, il faut que tu vois ça.

- Quoi, mi amigo, il est encore tôt non ? répondit le jeune homme en battant des paupières et fronçant les sourcils.

- lève-toi, vient voir.

- voir quoi ? »

Il y eut un long barrissement.

« - Ca, tu vas voir ils sont magnifiques.

- Ok, ok je me lève. »

Contrairement à Nikos, Antonio ne perdit pas de temps pour se mettre debout. Il bailla juste un peu en mettant sa main devant sa bouche une fois levé. Nikos le fit s’approcher de la fenêtre et les deux compères purent observer les gros dinosaures. Ils les regardèrent ainsi se déplacer et se nourrir pendant quelques minutes, avant que Nikos ne se décide à se diriger vers la porte.

« - On se tente une petite sortie ?

- Ouais, ça me tente plutôt bien, répondit le jeune latino en souriant. »

Discrètement ils ouvrirent la porte et se glissèrent à l’extérieur en prenant soin de refermer sans faire le moindre bruit.

« - Ils sont si gros, je n’ai jamais réussi à m’habituer à leur taille.

- Ce sont des diplodocus, ils sont plutôt léger pour leur taille, environ quinze ou vingt tonnes tout au plus.

- C’est déjà bien lourd, il me semble non ?

- Certes, mais par exemple, il y a des brachiosaures sur cette ile, je suis sûr que les plus gros atteignent sans problème les cinquante tonnes, et regarde la baleine bleue, un spécimen de la même longueur qu’un diplodocus peut peser au moins 120 tonnes voire plus.

- Je n’aimerais pas me retrouver sous l’une d’entre elle.

- moi non plus, rétorqua Nikos en riant, bientôt suivit par Antonio.

- On tente une approche ? reprit-il.

- Pourquoi pas, si tu veux oui, répondit Antonio en souriant. »

Les deux jeunes s’avancèrent doucement, traversant le chemin afin de se retrouver dans l’herbe. Ils s’arrêtèrent à une dizaine de mètre d’un gros spécimen. Ils pouvaient apercevoir les plaques dermiques sur le haut des flancs de l’animal, les mouvements de sa cage thoracique à chaque respiration, le fonctionnement des muscles de ses membres, de son cou et sa queue à chaque mouvement. Le placide animal semblait ratisser le sol à la recherche de plantes qui lui convenaient. Il finit par se rendre compte de la présence des deux comparses. Il releva la tête haut au-dessus d’eux et les observa. L’animal calme mugit longuement, puis redescendit délicatement la tête à leur niveau. Il renifla longuement. Nikos et Antonio pouvaient sentir le souffle de l’imposant dinosaure sur leur visage. Le crâne faisait environ un mètre de long et les gros yeux étaient semblables à ceux d’une vaches.
C’est cette image qui convainc Nikos d’avancer sa main droite vers l’énorme tête longue et basse tout en lui parlant doucement, avant de la poser dessus. Le diplodocus sembla d’abords surpris, reculant brièvement la tête, avant de revenir au contact de la main. Le jeune homme se mit alors à la caresser. L’herbivore laissa échapper de long ronronnement. Le jeune homme ressenti la douceur des fines écailles qui recouvraient le crâne et toute la chaleur qui se dégageait de l’animal. Ce n’était pas la première fois qu’il touchait des écailles. Il se souvint de la sensation que lui avait procurer un boa constrictor que l’on lui avait placé autour du cou. L’animal était lui aussi doux, mais loin d’être aussi chaud, sa température s’adaptait à celle de l’environnement extérieur, il paraissait donc tiède. Là au contraire, chaque écaille pouvait être discernée des autres et l’on sentait que toute la chaleur provenait de l’énorme corps. La sensation était agréable. Nikos se risqua à faire glisser sa main le long du crâne en se déplaçant jusqu’à son œil, continuant à lui susurrer quelques mots. Le regard n’était pas vide. Comme celui d’une vache la pupille était grande et l’iris magnifique, il reflétait toute la palette émotive de la créature. Des sécrétions avaient d’ailleurs laissé de longue trainées de chaque côté de l’œil, comme des larmes ayant coulée puis séchées. Le diplodocus laissait toujours échapper les longs ronronnements caractéristiques. De là où il se trouvait, Nikos pouvait se rendre compte de toute l’immensité de l’animal, avec son cou et sa queue immense, celle-ci fouettant l’air avec vigueur.
Antonio était resté sans bougé, observant la scène. Ses yeux brillaient d’admiration et sa bouche restait béat. D’un signe de la main, Nikos l’invita à approcher. Le jeune latino hésita quelques instants, puis, il finit par faire quelques pas en avant et tendit la main, la déposant contre le museau de l’animal qui avait un peu plus baissé la tête. Les deux garçons restèrent à caresser l’animal durant plusieurs minutes. Le troupeau se déplaçant tout autour, paisiblement. Les petits dinosaures à la tête violettes gambadant jusqu’aux animaux se trouvant aux abords de la forêt. Les petites créatures se délectant des végétaux tombant au sol lorsque les diplodocus ratissaient les branches basses.
Tournant la tête vers la maison, Nikos s’aperçu que Adama et Kim les observaient depuis le pas de la porte. Kim avait un regard tendre, presque maternelle. Les bras croisés et la tête légèrement penchée. Adama quant à lui affichait un large sourire. Le jeune homme n’osa pas les interpeller, de peur d’effrayer l’animal. Il regarda Antonio qui semblait aux anges. Le diplodocus se mit alors à frotter délicatement sa tête contre le corps de celui-ci, avant de la descendre jusqu’au sol et d’y arracher une grosse touffe d’herbe. Il la releva ensuite haut au-dessus des deux jeunes gens et commença à avaler son repas. Un long mugissement se fit entendre derrière lui, il tourna la tête sur sa droite puis il entreprit de se diriger vers l’un de ses congénères qui semblait être un peu plus gros que lui. Arrivé à sa hauteur, ils se frottèrent crâne contre crâne, puis il avança, frottant son corps entier sous le cou de l’autre individu. Puis chacun se mit à manger à sa guise.

« - Tu vois toi aussi finalement tu as de la chance, fit Kim en s’approchant accompagné d’Adama.

- C’était extraordinaire, je n’ai jamais ressenti ça de ma vie.

- Ces animaux sont gentils, affirma Antonio.

- Les diplodocus ne sont pas réputés pour leur agressivité, les seuls occasions où l’on peut les voir devenir dangereux c’est lorsqu’ils ont à craindre pour leur survie, expliqua Adama.

- Votre nouvelle amie est une jeune femelle, elle s’est faite rappeler à l’ordre par la matriarche. Les troupeaux de diplodocus, comme ceux des apatosaures fonctionnent un peu comme ceux des éléphants d’Afrique. Le groupe est constitué en grande partie de femelle et de jeunes des deux sexes. A l’approche de la maturité sexuelle les mâles sont écartés du troupeau et doivent s’intégrer à un autre groupe, toujours sous la dominance d’une matriarche. C’est ainsi qu’ils évitent les problèmes liés à la consanguinité.

- Ca fait donc beaucoup de mâles lâchés dans la nature non ? Il n’y a pas assez de place ici pour beaucoup de troupeau de gros dinosaure.

- De ce que je sais, continua Kim, lors des naissances, il n’y a que très peu de mâle, et comme les petits sont livrés à eux-mêmes dès la sortie de l’œuf et qu’ils vont mettre un certain temps avant de rejoindre le troupeau, la sélection naturelle à le temps de se mettre en place, donc au final, peu de petit survive, et comme il n’y a pas beaucoup de mâles au départ, il arrive qu’aucun d’entre ne vivent plus de quelques jours.

- La vie trouve toujours un chemin, affirma Nikos.

- L’arrivée de petits dans un troupeau, c’est toujours quelque chose de magnifique à voir. Ces animaux sont comme nos animaux actuels, les petits sont toujours très mignon. Quand j’ai vu le petit tyrannosaure pour la première fois, j’ai littéralement craqué. Bon maintenant, je m’en méfierais, expliqua Kim en riant.

- Pourquoi on ne me réveille jamais quand c’est intéressant ? Demanda Mickaël en baillant, se présentant sur le pas de la porte. »

Ils le regardèrent en riant.

nicolasollivier · 14-12-2015 22:23:56

Pour ceux que ça intéresse, j'ai commencé à publier mes pdf sur un blog, pour facilité la lecture, plutôt que de poster directement ici et que cela paraisse trop indigeste.
J'ai donc commencé par le premier pdf issu du chapitre 3 avec l'arrivé du Procératosaurus ( je ne vous cacherai pas que c'est la lecture du chapitre 4 d'expédition Nublar qui m'a donné l'envie de remettre en avant ce court passage ce soir ).

Donc voici le lien, en vous souhaitant une bonne lecture.

http://lapprochedunmondeperdutome1.blog … aurus.html

nicolasollivier · 19-12-2015 19:52:57

Voici un deuxième extrait, voici une partie de ce qui s'est passé la nuit où tout à basculé.

http://lapprochedunmondeperdutome1.blog … de-la.html

nicolasollivier · 23-12-2015 22:18:31

J'ai enfin terminé le chapitre des baryonyx, donc j'ai entamé le chapitre 23 avec le retour des vélociraptors mongoliensis que l'on avait pas vu depuis le chapitre 6.

Ulfric Sombrage · 23-12-2015 22:59:47

Des Velociraptor, genre des vrais ou ceux de JP ?

wolfrex · 23-12-2015 23:11:22

Ulfric Sombrage a écrit :

Des Velociraptor, genre des vrais ou ceux de JP ?

des vrais de jp wink

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